En effet, lors d’une réunion avec la direction de l’établissement, des interrogations concernant les nouveaux horaires ont été posées, mais le proviseur a catégoriquement refusé de répondre, suscitant ainsi un profond mécontentement.

L’Union de Conseil des Parents d’Élèves (UCPE) a vivement réagi à cet événement qualifié de « gravité sans précédent ». Ils estiment que les collégiens ont été pris à partie par le principal et son administration, qui ont abusé de leur autorité envers les enfants.

Face à cette situation inacceptable, les parents ont organisé un sit-in devant l’établissement pour protester contre la punition jugée inhumaine et injustifiée infligée à leurs enfants. De plus, un collectif de parents d’élèves, représenté par l’UCPE et la Fédération des Conseils de Parents d’Élèves (FCPE), a rédigé un courrier adressé à l’Ambassadeur de France au Maroc ainsi qu’aux autorités compétentes, demandant une intervention pour faire cesser cet abus de pouvoir.

Les parents insistent sur la nécessité d’une démission immédiate du proviseur et de son administration. En cas de maintien de l’équipe actuelle, beaucoup d’entre eux envisagent de retirer leurs enfants de l’établissement et de mettre en place une rupture financière. Ce scandale met en lumière les méthodes de gestion contestables de l’équipe Française en place, mettant en péril la confiance entre l’école et les parents.